VIDÉO. En 2008, Chabal chauffait les épaules et retournait l’énorme Koyamaibole comme une crêpe

1 mois ago 34
Cette semaine, le toujours très éclectique Vincent Moscato affirmait "ça y est, Dupont a dépassé Chabal." A raison, tant médiatiquement la superstar française est sur tous les fronts aujourd’hui, en plus d’être le rugbyman tricolore le plus suivi sur les réseaux sociaux. Pourtant, si Sébastien Chabal est resté si longtemps le rugbyman le plus célèbre de France, c’est bien évidemment pour la campagne médiatique faite autour de lui à l’orée du Mondial 2007. Fort d’un physique, d’un look et d’un style de jeu pour le moins direct, "Caveman" devenait, à presque 30 ans, le chouchou du (grand) public. RUGBY. Pourquoi Antoine Dupont s'envole-t-il pour les USA juste avant son retour en Top 14 ? Si certains lui ont toujours reproché son manque de technique individuelle et d’intelligence de jeu, reste néanmoins un point sur lequel le barbu n’a jamais déçu : les contacts. Très rude sur l’homme, celui qui est aujourd’hui consultant pour Canal Plus a souvent distribué les timbres pour faire rugir de plaisir les tribunes. Exemple en 2008, lors de ce match face aux Pacific Islanders où il avait fait chavirer le stade Bonal de Montbéliard (oui, le XV de France a joué là-bas !) en retournant le plus beau bébé des îliens : Sisaro Koyamaibole. VIDÉO. Vous vous souvenez de l’époque où Chabal et Henry Tuilagi se distribuaient les pastilles ? A l’époque, le Fidjien n’affichait pas l’excès pondéral qu’il portait parfois bien à Brive, mais portait le maillot de Toulon et avoisinait les 125kg (pour 1m92). Un numéro 8 comme on les aime, qui avait beaucoup fait souffrir la défense française, jusqu’à l’entrée de notre Chabal national, donc… Sur une relance depuis le fond du terrain, le colosse fidjien allait défier frontalement le chevelu de Sale avec 20 mètres d’élan. Bilan ? Bien stable sur ses appuis, Chabal retournait Koyaimaibole « comme si c’était un petit joueur de 20kg », se délectait Fabien Galthié au micro de France 2 à l’époque. On vous laisse savourer, avec les commentaires toujours appréciables de l’iconique Jean Abeilhou pour saupoudrer le tout…
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